« Une entreprise de destruction émotive, voilà comment il faut définir le deuxième album de Jonas Bonnetta (le premier sous l’alias Evening Hymns). [Il] ne vous laisse que les six minutes inaugurales de Lanterns pour comprendre ce qui vous arrive. Si vous ne reprenez pas vos esprits passé ce délai, vous serez sans doute perdu à jamais. Perdu dans les méandres d’un folk cotonneux d’où émane une électricité incantatoire, foudroyante de justesse et de préciosité harmonique. » (Magic, décembre 2009)